07.03.06

L�Epicerie

On marche dans des petites rues brunes avant que la marche soit ferme. Autour de lui, les vrais fran�aises et les touristes anglaises regardent les l�gumes avec l�air d�un bijoutier. Les vendeurs crient leurs marchandises et une veille dame anglaise dit a son mari � Regarde la : Les fleurs frais, pas tr�s ch�res.� Son mari prend sa main et ils arr�tent quelques minutes apr�s devant une table de fromage. On marche plus vite et enfin on la trouve. La Rue Jean-Jacques Rousseau.
Soudainement, trois parfumes l�assaillent. Il n y personne ici et les magasins sont presque vides. Premier, l�odeur sucre et purile des confiseries. Le souvenir des r�ves d�enfance commencent de danser dans le t�te, mais non, il n y rien d�int�ressant la. Deuxi�me, le parfum doux de la parfumer commercial, avec ces portes jaunes et vertes. La, les vendeuses sont souriants. Ils demandent � Est-ce qu�il y a quelque chose en particulier dont je peux vous aide ? � Mais oui. Mais non. On sort du magasin en cherchant la troisi�me odeur. O� est-il ?
A cote d�un librairie religieuse, le parfum de je ne sais quoi est fort et on tourne a gauche. Il y a des fagots de lavande hors de la porte et un gar�on amuse vous regarde avec un sourire en coin. Tout a coup on s�est rendu compte qu�il y a des douzaines des �pices dedans, c�est �a que sent si fort. On les regarde aux yeux larges. � Bienvenue,� il dit.
On regarde, � chaque mur, les pyramides des �pices purs, soit dans un grand sac, soit dans une boule en boit marron. On sent le premier sac. Il y a des souvenirs dedans, il y a le parfum de la cuisine de sa maman paque matin quand elle faisait les plats pour le paque repas et vous, en regardant elle, mangiez les petit pains sucre. La parfume du deuxi�me sac est plein des mots de son ch�rie. Il parlait des th�s l�gers, et des feuilles qu�il a cueillies dans son enfance. Il a dit qu�il veut cuiller les feuilles avec vous. Il voulait retourner avec vous � son pays de naissance. Votre ch�rie vous regardait doucement. Ils sont ces types de parfums, mais les petits boites sont marques comme � Le Salomon : la mangue, la poire, la lavande et la cannelle. �
C�est de cela que les souvenirs ont fait ?
On ach�te deux sacs d��pices et apr�s les anglais ont ach�te leurs sachets de lavande. On prend un sac de vraie lavande, tout frais et bleu comme l�aube et ses doigts. Le vendeur, il ri, il comprend que vous n��t�s pas fran�ais mais il vous aime. Il s�amuse. On sort du magasin.
Pendant tout la reste de la journ�e la parfum est dans son sac a main. On passe toute la journ�e avec son copain et sa m�re dans un petit sac avec des cannelles dedans.

shi-ou-sama at 6:15 p.m.

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