06.20.06
son salle
J�ai pense que j��tait tort, que ce n��tait pas de tout son appartement parce qu�il ne semble pas comme l�image que j�avais d�elle. Elle �tait �l�gante, flirteuse, elle avait des grandes balles fantastiques avec hommes intelligents et riches. Son appartement faut �tre chique. Il faut sentir des roses et alcool tr�s ch�re. L�odeur de cet appartement n��tait ni du mort ni de la vie. L�air �tait vicie et le poussi�re qui restait sur les meubles devenait flottant quand je suis entre la salle.
Le bouton de la porte n�avait pas de la rouille. Il brillait avec l�huile des centimes des mains familiers. Au moment o� je le suis entr�e, je m�ai vue dans des grands miroirs qui couvriraient le mur en face de la porte. Un barreau traversait les miroirs et je m�ai rendu compte que c��tait une salle de ballet. Soudainement les images des fillettes v�tues d�innocence ont fait tournoyer devant les yeux. Elles dansaient pour leurs parents r�ves d�aisance. Elles se prostituaient dans les petites salles de cet appartement pour l�argent des hommes p�dophiliques.
La lumi�re d�or dans la salle entrait la salle par les fen�tres effile sur les murs qui restaient sans miroirs. Leurs rideaux �taient pales, ils se fanaient comme s�ils �taient d�goutte avec l�eau de Javel. Entre les rideaux, les araign�es caracolent sur leurs ficelles et ils suspendraient a eux comme les petits cloches d�un carillon �olien. Ils ne carillonnaient pas.
Je me sentait sale de poussi�re qui couvraient ma peaux avec leur veille odeur et j�ai essaie de trouver la toilette. Le petit miroir avait l�air d�un vitrage gluant qui obscurcit ma r�flexion. Sous le miroir, l��vier �tait ourle de l��cume noir des mains salles. Le robinet ne marchait pas. Je suis sorti la toilette.
Les chouettes huaient au dehors. Le cr�puscule a tue le soleil. J�ai �claire une allumette que j�avais dans mon poche. J�ai pense d�elle et pour un moment j�ai entendu sa rire claire et l�ger.
J�suis sorti. J�ai ferme la porte. J�ai fait brille le bouton.
shi-ou-sama at
