06.06.06

excercice ecrit

Il ne cillait pas. Frustre, le vent s�a arr�te, et les chats de Cheshire ont tourne dans ses lits si doucement que les petites mites qui restaient dans les oreilles ne bougeaient pas. Le m�got de la cigarette que l�homme fumait est tombe et il s�est r�veille de ses r�ves de pain (ou les petits baguettes dansaient avec tous les types des fromages) avec des b�illements de r�sistance. Le fourgon roulait encore. Les chats dormaient. Tout �tait tranquille.
Il s�est gratte avec les mains sales, noir avec la crasse de la terre. �Tant pis ! � Il a jette la cigarette a l�ext�rieur du fourgon mais son parfum n�est pas sorti avec lui. Il restait la avec l�homme, comme un fant�me, ou peut �tre un ange que lui prot�geait pendant la nuit. Ou dehors, les diables rallumaient la cigarette, et il tr�nait au milieu d�eux comme une idole pa�enne. L�homme a ferme ses yeux.
Le vin chaud dans sa main et son ventre devinait le vinaigre et il s�est lave la visage avec ce vinaigre comme s�il serait l�eau. � Moi, j�ai de la chance moi. � Au dehors, les diables criaient tr�s fort et ils battaient le fourgon. � Moi, je suis bien cache. � Ils ont cesse pour un moment, et ils on recommence de batte le pauvre petit fourgon. � Ils ne peuvent pas me trouver. �
Les chats de Cheshire se sont l�ves, tr�s t�t et ils ont attaque un petit souris marron. Le policier qui frappait les wagons a fait une pause pour voir le lever du soleil et apr�s il recommence de marcher et frapper les wagons. Il a entendu une petite voix. Il a ouvert la porte.

shi-ou-sama at 3:12 p.m.

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